Interview Stéphane Passaquet - Directeur de l'agence de transaction Cours Gambetta 🎤
Le groupe /
24.01.2022
Présentez-vous (date d’entrée chez 6e sens immobilier, évolution, fonction …)
Je suis arrivé dans l’immobilier en 2004 un peu par hasard, en intégrant une première année de formation dans l’agence Créatif Immobilier, avant d’avoir la chance de rejoindre le Groupe 6e Sens Immobilier un an plus tard : d’abord en tant que négociateur durant trois ans, puis en devenant responsable d’une agence sur Lyon 9ème pendant sept ans. J’ai ensuite eu l’opportunité d’être indépendant en rachetant une agence 6e Sens Immobilier. On choix s’est porté sur celle de Saxe-Gambetta, afin que mon activité soit centrale et réactive sur l’intégralité de Lyon intra-muros.
Parlez-nous de votre zone d’intervention ?
Notre zone d’intervention représente avant tout le 7e et le 3e arrondissement de Lyon. Toutefois, le positionnement stratégique de notre agence à Saxe-Gambetta nous permet d’intervenir sur l’ensemble des arrondissements lyonnais et proches alentours.
Concernant les biens, nos mandats sont variés, allant du studio de 12 m2 à l’appartement penthouse de plus d’un million d’euros. Particulièrement cosmopolite, le secteur est très attractif, notamment chez les étudiants et jeunes actifs. Une majorité de nos clients fondent d’ailleurs leur famille ici. Les prix ont par ailleurs relativement progressé ces dernières années : nous intervenons sur une zone très séduisante, constituée principalement d’immeubles anciens. Les nouvelles constructions y sont rares. Avec une offre inférieure à la demande, le marché reste très tendu tout en étant très prisé.
Pouvez-vous définir un « mandat type » de votre secteur ?
Comme énoncé juste avant, le marché étant porteur, une quinzaine de jours nous suffit en général pour finaliser nos actions.
Ainsi, le mandat type est un mandat exclusif avec des honoraires très réduits sur une durée limitée de 2 semaines. Cette souplesse proposée plaît beaucoup par rapport à certaines autres agences.
Dites-nous l’avantage de faire appel à vos services : le « + » 6e Sens Immobilier ?
J’aime travailler dans l’idée que l’humain doit rester au centre de nos préoccupations. Ce que j’ai trouvé chez 6ème Sens Immobilier, c’est une histoire familiale avant tout. Même si le groupe a énormément grandi en plus de 20 ans, ses valeurs sont restées les mêmes depuis le tout début : la volonté de bonifier chaque rencontre, d’être réactif et de bien faire les choses. C’est ce petit plus là qui, à mes yeux fait toute la différence dans nos métiers.
Quelles sont vos prévisions pour l’immobilier lyonnais en 2022 ?
Malgré ce que l’on peut penser, 2020 a été une année record. La pandémie a précipité beaucoup de projets de ventes (plus d’1 100 000 contre environ 750 000 en moyenne annuelle habituellement). Ces résultats démontrent une année très satisfaisante pour l’immobilier lyonnais.
Il est certain que 2021 a été un petit peu plus compliquée, avec un grand nombre de projets anticipés l’année précédente. 2022 laisse augurer un retour aux bases traditionnelles, comprenant une stabilisation des prix, l’offre revenant à la hausse.
Je suis arrivé dans l’immobilier en 2004 un peu par hasard, en intégrant une première année de formation dans l’agence Créatif Immobilier, avant d’avoir la chance de rejoindre le Groupe 6e Sens Immobilier un an plus tard : d’abord en tant que négociateur durant trois ans, puis en devenant responsable d’une agence sur Lyon 9ème pendant sept ans. J’ai ensuite eu l’opportunité d’être indépendant en rachetant une agence 6e Sens Immobilier. On choix s’est porté sur celle de Saxe-Gambetta, afin que mon activité soit centrale et réactive sur l’intégralité de Lyon intra-muros.
Parlez-nous de votre zone d’intervention ?
Notre zone d’intervention représente avant tout le 7e et le 3e arrondissement de Lyon. Toutefois, le positionnement stratégique de notre agence à Saxe-Gambetta nous permet d’intervenir sur l’ensemble des arrondissements lyonnais et proches alentours.
Concernant les biens, nos mandats sont variés, allant du studio de 12 m2 à l’appartement penthouse de plus d’un million d’euros. Particulièrement cosmopolite, le secteur est très attractif, notamment chez les étudiants et jeunes actifs. Une majorité de nos clients fondent d’ailleurs leur famille ici. Les prix ont par ailleurs relativement progressé ces dernières années : nous intervenons sur une zone très séduisante, constituée principalement d’immeubles anciens. Les nouvelles constructions y sont rares. Avec une offre inférieure à la demande, le marché reste très tendu tout en étant très prisé.
Pouvez-vous définir un « mandat type » de votre secteur ?
Comme énoncé juste avant, le marché étant porteur, une quinzaine de jours nous suffit en général pour finaliser nos actions.
Ainsi, le mandat type est un mandat exclusif avec des honoraires très réduits sur une durée limitée de 2 semaines. Cette souplesse proposée plaît beaucoup par rapport à certaines autres agences.
Dites-nous l’avantage de faire appel à vos services : le « + » 6e Sens Immobilier ?
J’aime travailler dans l’idée que l’humain doit rester au centre de nos préoccupations. Ce que j’ai trouvé chez 6ème Sens Immobilier, c’est une histoire familiale avant tout. Même si le groupe a énormément grandi en plus de 20 ans, ses valeurs sont restées les mêmes depuis le tout début : la volonté de bonifier chaque rencontre, d’être réactif et de bien faire les choses. C’est ce petit plus là qui, à mes yeux fait toute la différence dans nos métiers.
Quelles sont vos prévisions pour l’immobilier lyonnais en 2022 ?
Malgré ce que l’on peut penser, 2020 a été une année record. La pandémie a précipité beaucoup de projets de ventes (plus d’1 100 000 contre environ 750 000 en moyenne annuelle habituellement). Ces résultats démontrent une année très satisfaisante pour l’immobilier lyonnais.
Il est certain que 2021 a été un petit peu plus compliquée, avec un grand nombre de projets anticipés l’année précédente. 2022 laisse augurer un retour aux bases traditionnelles, comprenant une stabilisation des prix, l’offre revenant à la hausse.
